June 14, 2022
FOR IMMEDIATE RELEASE
Ottawa, ON – Today, Tracy Gray, Conservative Shadow Minister for Small Business Recovery and Growth, introduced Bill C-283, the End the Revolving Door Act:
“In my home province of B.C., and my community of Kelowna-Lake Country, we are all too familiar with the revolving door of our criminal justice system. The sad reality is that those suffering from addiction do not get the treatment they need, while prolific offenders and those who prey on the vulnerable do not get the time in prison they deserve.
“Bill C-283 proposes to amend the Criminal Code of Canada to expand the sentencing options available in our justice system and assist those whose lives have been ravaged by addiction. This law would allow the Commissioner of the Correctional Service of Canada to designate all or a part of a federal penitentiary as an addiction treatment facility.
“A 2015 study by Correctional Service Canada showed, at admission to federal custody, 70 per cent of men and 77 per cent of women offenders had a substance use issue. By giving them access to addiction treatment facilities, we can provide those in the correctional system with access to programs to help address their substance use as well as to other related services that respond to their specific needs.
“High recidivism rates in Canada among those suffering from mental health and drug addiction is breaking Canadian families apart. It is putting extreme pressure on law enforcement resources, straining our justice system, harming our communities, and burdening our municipalities.
“We have a complex addictions crisis in Canada, and this law would be an important tool to help reduce the harm of addiction in communities and families, protect the public, and maintain public confidence in the judicial system.”
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La députée conservatrice Tracy Gray dépose un projet de loi d’initiative parlementaire visant à améliorer le traitement des dépendances dans les pénitenciers fédéraux
14 juin 2022
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE
Ottawa (Ontario) – Aujourd’hui, Tracy Gray, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable de la Reprise et de la Croissance de la petite entreprise, a présenté le projet de loi C-283, la Loi visant à mettre fin à la porte tournante :
« Dans ma province natale, la Colombie-Britannique, et dans ma communauté de Kelowna-Lake Country, nous ne connaissons que trop bien la porte tournante de notre système de justice pénale. La triste réalité est que les personnes souffrant de dépendance n’obtiennent pas le traitement dont elles ont besoin, tandis que les délinquants récidivistes et ceux qui s’en prennent aux personnes vulnérables n’obtiennent pas le temps d’emprisonnement qu’ils méritent.
« Le projet de loi C-283 propose de modifier le Code criminel du Canada afin d’élargir les options de détermination de la peine disponibles dans notre système de justice et d’aider ceux dont la vie a été ravagée par la dépendance. Cette loi permettrait au commissaire du Service correctionnel du Canada de désigner la totalité ou une partie d’un pénitencier fédéral comme un établissement de traitement de la dépendance.
« Une étude réalisée en 2015 par le Service correctionnel du Canada a montré qu’à l’admission dans un établissement fédéral, 70 pour cent des hommes délinquants et 77 pour cent des femmes délinquantes avaient un problème de toxicomanie. En leur donnant accès à des établissements de traitement de la dépendance, nous pouvons permettre à ceux qui sont dans le système correctionnel d’avoir accès à des programmes qui les aideront à régler leur problème de toxicomanie ainsi qu’à d’autres services connexes qui répondent à leurs besoins particuliers.
« Les taux élevés de récidive au Canada chez les personnes souffrant de santé mentale et de toxicomanie brisent les familles canadiennes. Il exerce une pression extrême sur les ressources d’application de la loi, met à rude épreuve notre système judiciaire, nuit à nos collectivités et pèse sur nos municipalités.
« Nous avons une crise complexe de toxicomanie au Canada, et cette loi serait un outil important pour aider à réduire les dommages de la toxicomanie dans les communautés et les familles, protéger le public et maintenir la confiance du public dans le système judiciaire. »
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