Conservatives raise concerns about lack of clarity on 4-month delay for second Pfizer vaccine dose

March 8, 2021 - 

FOR IMMEDIATE RELEASE
 

Ottawa, ON – The Hon. Michelle Rempel Garner, Conservative Shadow Minister for Health, and Pierre Paul-Hus, Conservative Shadow Minister for Public Services and Procurement, issued the following statement about the new recommendation to delay the second Pfizer vaccine dose for four months:

“Today, Conservatives learned that Pfizer was not consulted on the National Advisory Committee on Immunization’s (NACI) recommendation to push the advised time between doses of COVID-19 vaccines from three weeks to four months. This recommendation sets a new precedent in the delay between doses, going against the schedules of other countries around the world.

“When asked about whether partial immunity from a four-month delayed second dose creates the conditions for vaccine-resistant strains to emerge, experts expressed concerns. This is a significant issue, and the federal government has yet to tell Canadians how they plan to prevent this in our country, given that their new advice is not backed by data.

“We know from academic reports that the emergence of vaccine-resistant variants could become a concern if Canadians are only partially immunized from incomplete vaccination. The government must immediately explain how they plan to address these concerns in their vaccine rollout strategy, especially as it could lead to vaccine hesitancy. 

“Pfizer Canada President Cole Pinnow said that the advice goes against Pfizer’s monograph guidance for optimal, safe, and effective use of the drug, saying it ‘creates concern, confusion, and potentially, hesitancy.’

“While Conservatives are relieved that vaccines are beginning to arrive in Canada, the delays caused by the government mean that Canada is behind other countries in its plan to reopen the economy.

“We want the government to succeed in getting COVID-19 vaccines to Canadians, but, like the President of Pfizer, Conservatives are concerned that the Liberal government’s inability to explain their decision-making could lead to further vaccine hesitancy. This government has left health officials scrambling to extend the time between limited doses – will Canadians be the ones to pay the price?”


 

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Les conservateurs soulèvent des préoccupations sur le manque de clarté au sujet du report de quatre mois pour la deuxième dose du vaccin de Pfizer
                                                 

8 mars 2021
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE
 
Ottawa (Ontario) – L’honorable Michelle Rempel Garner, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable de la Santé, et Pierre Paul-Hus, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable des Services publics et de l’Approvisionnement, ont fait la déclaration suivante au sujet de la nouvelle recommandation visant à reporter l’administration de la deuxième dose du vaccin de Pfizer à quatre mois :

« Les conservateurs ont appris aujourd’hui que Pfizer n’a pas été consultée au sujet de la recommandation du Comité consultatif national sur l’immunisation (CCNI) de reporter le délai entre les doses du vaccin contre la COVID-19 de trois semaines à quatre mois. Cette recommandation établit un nouveau précédent sur le délai entre les doses, à l’encontre des calendriers d’autres pays dans le monde entier.

« Quand on a demandé à des experts si l’immunité partielle d’une deuxième dose retardée de quatre mois crée des conditions favorables à l’émergence de souches résistant au vaccin, ils ont fait état de certaines préoccupations. C’est très grave, et le gouvernement fédéral doit dire aux Canadiens comment il prévoit éviter cela au Canada, compte tenu du fait que cette nouvelle directive ne repose sur aucune donnée probante. 

« Des rapports de recherche démontrent que l’émergence de variants résistant au vaccin pourrait devenir préoccupante si les Canadiens ne sont que partiellement immunisés en raison d’une vaccination incomplète. Le gouvernement doit immédiatement expliquer comment il prévoit répondre à ces préoccupations dans le cadre de sa stratégie de distribution du vaccin, en particulier parce que ça pourrait causer une hésitation à se faire vacciner chez les Canadiens. 

« Le président de Pfizer Canada, Cole Pinnow, a dit que la directive va à l’encontre de la monographie de Pfizer sur l’utilisation optimale, sécuritaire et efficace du médicament, ajoutant que cela crée des préoccupations, une confusion et une éventuelle hésitation.

« Les conservateurs sont soulagés que les vaccins commencent à arriver, mais les retards causés par le gouvernement signifient que le Canada est loin derrière d’autres pays avec son plan pour rouvrir l’économie.

 « Nous voulons que le gouvernement réussisse à vacciner les Canadiens contre la COVID-19 mais, comme le président de Pfizer, les conservateurs craignent que l’incapacité du gouvernement libéral à expliquer son processus décisionnel crée une plus grande hésitation à se faire vacciner. Ce gouvernement laisse des responsables de la santé prolonger le délai entre l’administration de doses limitées – est-ce que les Canadiens vont devoir en payer le prix ? »


 

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