Conservatives call for Finance hearings into Canada’s housing inflation crisis

January 5, 2022 -

FOR IMMEDIATE RELEASE

Ottawa, ON – Pierre Poilievre, Conservative Shadow Minister for Finance, today called for an immediate resumption of Finance Committee to hold hearings on Canada’s housing inflation crisis.

“Canada has a housing inflation crisis. At the start of the pandemic in March 2020 the national average price for a home was $540,000. In November 2021, the national average home price was $720,850—a 33 per cent increase. The cost of real estate climbed $120,000 from November 2020 to November 2021, the largest increase ever recorded according to the Canadian Real Estate Association. Housing prices are expected to climb an additional 9.2 per cent in 2022, worsening the crisis and putting homeownership further out of reach. IPSOS research finds that 85 per cent of millennials want to own a home but can’t afford one.

“Canada’s two biggest cities, Toronto and Vancouver are among the worst housing bubbles in the world. Toronto ranks as the second-worst housing bubble in the world, according to data released by UBS.

“Inflation has skyrocketed to a 30-year high in Canada. Our national debt has soared to over one trillion dollars. The central bank has flooded financial markets with over $400 billion in newly created cash since the COVID pandemic began. Canada now faces a dangerous housing bubble.

“As Canada’s inflationary housing bubble continues to grow, the Liberal government’s response is more inflationary fuel on the fire. Finance Minister, Chrystia Freeland refuses to acknowledge the problem even exists. If the Liberal government will not work to end Canada’s housing inflation bubble, the Finance Committee must resume to propose solutions to make homeownership a tangible goal, not a distant dream for aspiring homeowners."

 

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Les conservateurs demandent au ministère des Finances de tenir des audiences sur la crise de l’inflation du logement au Canada

5 janvier 2022 -

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

Ottawa (Ontario) – Pierre Poilievre, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable des Finances, a demandé aujourd’hui la reprise immédiate des audiences du Comité des finances sur la crise de l’inflation du logement au Canada.

« Le Canada connaît une crise d’inflation du logement. Au début de la pandémie, en mars 2020, le prix moyen national d’une maison était de 540 000 dollars. En novembre 2021, le prix moyen national d’une maison était de 720 850 $ — une augmentation de 33 pour cent. Le coût de l’immobilier a grimpé de 120 000 dollars de novembre 2020 à novembre 2021, soit la plus forte augmentation jamais enregistrée selon l’Association canadienne de l’immeuble. Les prix de l’immobilier devraient encore augmenter de 9,2 pour cent en 2022, ce qui aggravera la crise et rendra l’accès à la propriété encore plus difficile. Les recherches d’IPSOS révèlent que 85 pour cent des milléniaux veulent posséder une maison, mais n’en ont pas les moyens.

« Les deux plus grandes villes du Canada, Toronto et Vancouver, figurent parmi les pires bulles immobilières au monde. Toronto se classe au deuxième rang des pires bulles immobilières au monde, selon des données publiées par UBS.

« L’inflation a grimpé en flèche pour atteindre son plus haut niveau en 30 ans au Canada. Notre dette nationale a grimpé à plus de mille milliards de dollars. La banque centrale a inondé les marchés financiers de plus de 400 milliards de dollars de liquidités nouvellement créées depuis le début de la pandémie de COVID-19. Le Canada est maintenant aux prises avec une dangereuse bulle immobilière.

« Alors que la bulle immobilière inflationniste du Canada continue de croître, la réponse du gouvernement libéral ne fait qu’ajouter de l’huile sur le feu. La ministre des Finances, Chrystia Freeland, refuse de reconnaître l’existence même du problème. Si le gouvernement libéral ne veut pas travailler pour mettre fin à la bulle inflationniste du logement au Canada, le Comité des finances doit recommencer à proposer des solutions pour faire de l'accession à la propriété un objectif tangible, et non un rêve lointain pour les aspirants propriétaires. »

  

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