Liberal Government harbouring a culture of fear and corruption in the public service

FOR IMMEDIATE RELEASE

September 15, 2022

Ottawa, ON – Kelly McCauley, Conservative Shadow Minister for the Treasury Board Secretariat, and Pierre Paul-Hus, Québec Political Lieutenant, responded to the report entitled “Exploring The Culture Of Whistleblowing And The Fear Of Reprisal In The Federal Public Sector” released by the Public Sector Integrity Commissioner:

“These findings show a disturbing trend in the public service that has only been made worse by Liberal inaction. Canadians rely on whistleblowers to expose corruption, mismanagement, and waste in government. Yet Justin Trudeau has consistently ignored the advice of experts to improve Canada’s whistleblower laws.

“The Public Sector Integrity Commissioner has found that public servants are more pessimistic, cynical, and jaded than ever when it comes to reporting wrongdoing. This should not come as a surprise given the Prime Minister’s history of condemning and prosecuting anyone who stands in his way. Just ask Jody Wilson-Raybould or Vice Admiral Mark Norman. As the Commissioner noted, nearly all participants in his study said that fear of reprisals for anyone reporting wrongdoing is a real concern.

“This new Liberal culture of corruption, much like the old Liberal culture of corruption from the Chretien-Martin era, is evidenced by the CRA giving backroom deals to major corporations, the withholding of evidence to the Nova Scotia Mass Casualty Commission, and of course, the SNC-Lavalin scandal.

“Five years ago Conservatives laid out a simple, zero cost plan to improve Canada’s whistle blowing laws through the Government Operations committee. And for five years, the Liberals completely ignored our sensible recommendations. Canadians are starting to learn why: one thing Liberal politicians fear the most is a public servant with integrity who is willing to expose their corruption.”

-30-

 


 

Le gouvernement libéral entretient une culture de la peur et de la corruption au sein de la fonction publique

 

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

15 septembre 2022

Ottawa (Ontario) — Kelly McCauley, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable du Secrétariat du Conseil du Trésor, et Pierre Paul-Hus, lieutenant politique pour le Québec, a répondu au rapport intitulé « Explorer la culture de dénonciation et la crainte de représailles au sein de la fonction publique fédérale » publié par le commissaire à l’intégrité du secteur public :

« Ces conclusions montrent une tendance inquiétante dans la fonction publique qui n’a fait qu’empirer avec l’inaction des libéraux. Les Canadiens comptent sur les dénonciateurs pour signaler la corruption, la mauvaise gestion et le gaspillage au sein du gouvernement. Cependant, Justin Trudeau a toujours ignoré les conseils des experts pour améliorer les lois canadiennes sur les dénonciateurs.

« Le commissaire à l’intégrité du secteur public a constaté que les fonctionnaires sont plus pessimistes, cyniques et blasés que jamais lorsqu’il s’agit de dénoncer des actes répréhensibles. Cela ne devrait pas être une surprise étant donné que le premier ministre a l’habitude de condamner et de poursuivre en justice quiconque ose lui tenir tête. Il suffit de demander à Jody Wilson-Raybould ou au vice-amiral Mark Norman. Comme l’a noté le commissaire, presque tous les participants à son étude ont déclaré que la crainte de représailles pour quiconque dénonce des actes répréhensibles est une réelle préoccupation.

« Cette nouvelle culture libérale de la corruption, qui ressemble beaucoup à l’ancienne culture de la corruption de l’ère Chrétien-Martin est démontrée par le fait que l’ARC a conclu des ententes officieuses avec de grandes sociétés, par la dissimulation de preuves à la Commission des pertes massives de la Nouvelle-Écosse et, bien sûr, par le scandale SNC-Lavalin.

« Il y a cinq ans, les conservateurs ont présenté un plan simple et sans frais au Comité des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires pour améliorer les lois canadiennes sur la dénonciation. Et pendant cinq ans, les libéraux ont complètement ignoré nos recommandations sensées. Les Canadiens commencent à comprendre pourquoi : l’une des choses que les politiciens libéraux craignent le plus, c’est un fonctionnaire intègre qui est prêt à dénoncer leur corruption. »

-30-